Magazine Culture
Khaled Hosseini
Éditions Belfond, 2007, 408 pages.
Traduit de l’américain par Valérie Bourgeois.
Mariam à 15 ans, c’est une « harami » une bâtarde. Après le suicide de sa mère, elle se trouve mariée de force à un homme exécrable de trente ans son aînée qui l’oblige à porter la burka en la maltraitant, car elle ne parvient pas à lui donner un héritier.
Rescapée d’un bombardement, Laila, une jeune afghane de 14 ans, trouve refuge chez Mariam et Rachid, ce dernier décide de l’épouser. D’abord rivales, elles vont devenir complices dans le malheur, car Laila subit la même cruauté.
Toutes deux, dans un pays ravagé par la guerre où les talibans imposent leurs lois barbares, inhumaines, brûlent les livres, interdisent tout simplement de vivre, vont s’allier pour essayer de fuir cette tyrannie, en espérant trouver la liberté.
Le premier mot qui me soit venu à la bouche en refermant ce livre et essuyant mes larmes est « Magnifique ! ». Après « Les cerfs-volants de Kaboul », l’auteur a encore su me toucher, il nous ouvre les portes de l’Afghanistan et à travers le regard de Mariam et Laila, c’est toute l’histoire politique et religieuse d’un pays qui défile sous nos yeux.
On s’attache à ces femmes, on crie, on pleure avec elles et il est impossible de refermer ce roman sensible et plein d’émotion sans savoir si un jour elles reverront se lever sur Kaboul les mille soleils splendides.
Le site officiel de l'auteur
Merci Martine d’avoir fait voyager ce livre.
LES COMMENTAIRES (2)
posté le 18 mars à 12:00
j'ai vraiment beaucoup aimé ce livre,c'est le seul qui à réussi à me mettre dans tout mes états .En effet, il m'a rendu triste ,heureuse, en colère, ému et m'a offert beaucuop de suspens. Malgé la guerre et une mentalité incceptable ce livre ma réconcilié avec l'Afhganistan. khaled hosseini MERCI
posté le 23 janvier à 13:56
malheureusement je n'ai pas encore lu les cerfs-volants de kaboul ni milles soleils splendises car ils sont pas disponible ici en algerie domage.mes vos commentaires me donne l'eau a la bouche j'ai hate de les lire