" (...) Or aujourd'hui, Monsieur le Président, le Traité de Lisbonne que les dirigeants européens et vous même en particulier cherchez à maintenir en vie artificielle, ce traité de Lisbonne vous aurait empêché de faire ce que vous venez de faire. Il interdit toutes les restrictions aux mouvements de capitaux, il interdit toutes les interventions et toutes les influences politiques sur la Banque centrale (européenne) et surtout les aides d'Etats pour toutes les entreprises.
La question est simple, quel choix, Monsieur le Président, allez vous faire, avoir les mains liées ou les avoir libres ? Pour avoir les mains libres, il ne faut plus le Traité de Lisbonne mais un Traité qui tienne compte des leçons que tous ensemble nous venons de vivre."