Magazine Sexo
C'est le nom d'une maladie génétique rare augmentant la production corporelle de trimethylamine (un dérivé de l'ammoniac) et modifiant l'odeur de la sueur, de l'urine, ou encore de l'haleine. Une femme de 41 ans vient de récemment faire l'objet d'un compte-rendu clinique paru dans le Medical Journal of Australia. Pendant 24 ans, surnommée « la femme poisson-pourri », cette habitante de Perth passait auprès des médecins pour une mythomane hypocondriaque à l'hygiène douteuse. Elle a maintenant un nom à mettre sur ce trouble qui, selon le Pr Burnett auteur du compte-rendu, engendre « honte et gêne » et « rend difficile les relations amoureuses ». Ses voisins doivent être heureux.