Dans certaines capitales africaines, des collectifs de soutien au candidat métis, dont le père était kényan, se sont montés. Mais à Addis Abeba, capitale de l'Ethiopie où siège l'Union africaine (UA), aucune mobilisation de ce genre n'a lieu. Pourtant près d'un million d'Ethiopiens vivent aux Etats-Unis.
C'est plutôt dans les cercles diplomatiques ou intellectuels que la présidentielle américaine est discutée et ses conséquences envisagées pour l'Afrique.