Yves Calvi ne parvient plus à lâcher ce sujet majeur : deuxième soir de suite consacré à la crise financière mondiale, en devenir pour être une crise économique profonde. Les tronches policées d’économistes en vue et d’analystes financiers, qui se succèdent sur son plateau, doivent exaspérer nombre de téléspectateurs. Les vomisseurs du capitalisme ne tolèrent plus qu’on puisse raisonner sur les événements, sitôt qu’on ne se déclare pas préalablement adversaire irréductible du système en folie. L’intégrisme idéologique des revanchards ne laisse rien augurer de réjouissant comme éventuel substitut à notre fonctionnement économique.