Le gras plein d’oseille, spéculateur financier sur les marchés financiers, a dû provoquer urticaire et nausée chez ceux qui vomissent le système.
Sans une once de retenue, l’anglo-saxon explique avoir gagné trois cent mille euros dans la matinée par quelques clics inspirés sur son ordinateur. Un jeu complexe maîtrisé à la perfection par le bougre, et qui laisse dubitatif sur la portée des règles internationales qui sortiraient d’une conférence internationale pour la refondation du capitalisme. L’intitulé lui-même respire l’effet d’annonce à contenu inapplicable.
Le spéculateur, aussi détendu que peuvent être stressés les traders en déroute, n’hésite pas à confier aux journalistes de TF1 les dérives repérées dans les subprimes sans, à aucun moment, remettre en cause sa propre activité.
« Etonnant, non ? » lancerait un certain Monsieur Cyclopède.