Alsacop m'a tagué, et j'avoue que je suis assez ennuyé : il faut en effet que je donne cinq titres qui définissent mon univers musical. Il se trouve que je suis très éclectique, et que j'écoute de tout. Donc, difficile de se définir en cinq morceaux de musique.
Je vais tout de même essayer de donner quelques références. J'aime beaucoup la comédie musicale Notre Dame de Paris, mais c'est aussi parce que j'aime l'oeuvre littéraire du même nom de Victor Hugo. Il en va de même de la comédie musicale Roméo et Juliette. J'apprécie particulièrement la chanson française, et je trouve, par exemple, un Renan Luce très talentueux et original. Mais sur le fond, mon admiration va particulièrement aux grands du classiques, avec une mention spéciale pour l'incomparable Mozart et sa flûte enchantée (l'un de mes morceaux favoris). J'aime bien sûr beaucoup Vivaldi, et son Stabat Mater plus encore que ses Quatre Saisons. Toutefois, le Stabat Mater de Pergolèse remporte presqu'autant mon adhésion. Les sons inquiétants de Planets Suits, de Holst m'ont toujours fait frissonner. Je continue à demeurer sans voix quand j'entends la Toccata de Bach, particulièrement si cela se produit dans une église ancienne pas dans les affreux blocs de béton avec une croix que l'on affuble du nom d'église.
J'ai un sentiment particulier pour les Folies d'Espagne, et je pense à celles de Salieri que je juge exceptionnelles. Je ne pourrais pas achever cette liste sans citer les Préludes de Chopin, qui me détendent. Ah, et puis, pour le côté détente, je pourrais également écouter sans fin les Gymnopédies d'Erik Satie. Surprendrais-je mes lecteurs si je leur dis que j'aime bien certains morceaux de death metal (une variante du hard-rock) et entre autres nombre de ceux de Metallica et de Ministry. Je ne dis pas que j'écouterais cette musique toute la journée, mais ce n'est pas déplaisant d'en entendre les sons discordants. Ah, et enfin, j'aime bien la musique médiévale d'auberge, particulièrement les Carmina Burana (pas seulement ceux de Carl Orff, mais aussi tels qu'ils étaient joués au Moyen-âge).
En fait, si je continue, je ne m'arrêterai pas, alors, j'en finis sur cette note d'un autre temps.