Nombre de chefs d'entreprises de la Silicon Valley ont echoué par le passé ce qui ne les a pas empéchés d'obtenir des financements auprés de sociétés de capital risque.
Par exemple, un certain Ben Smith qui avait créé une start up dans la filière logiciel: Spoke Software.
Avant d'avoir obtenu l'appui de sociétés de capital risque aussi réputées que US ventures Partners et Parteck International il avait déposé le bilan aprés le lancement de Casbah corp (site de commerce en ligne). Visiblement on ne lui en a pas tenu rigueur...
Souvent les chargés d'affaires de ces structures de financement considèrent qu'un entrepreneur qui a connu l'échec, a appris et donc se trouve dans une situation intéressante puisqu'il ne fera pas les mêmes erreurs.
Ce raisonnement semble vraiment éloigné de nos réflexes franco-francais où la rationnalité doit guider le monde des affaires...
Car que ce soit au niveau des sociétés de capital risque, des organismes bancaires mais également dans une moindre mesure auprés des structures d'accompagnement des créateurs d'entreprises (pépinière...) l'échec n'a pas bonne presse et jouerait plus comme un frein , méme si tout le monde s'en défend...