Oui, je sais, je ne devrais pas proposer un dimanche un chants punk-anar dont les paroles n’ont quelquefois pas toute la délicatesse qu’on pourrait espérer mais, en cette période d’hypocrisie généralisée quant aux responsabilités de la crise financière modèle que nous vivons, je ne peux m’en empêcher et, vive la crise, je me lâche.
Je sais en outre que cette chanson, que j’apprécie depuis longtemps, fera plaisir à l’ami Fabrice et à quelques autres.
Parabellum chante “Les enfants de Cayenne”:
Bon dimanche.
- Glorifions, ce que la finance ne sait pas faire, l’erreur, : ” Finance et sociologie”, Le Monde. Voir aussi les prochains soucis pour la finance: “Yoyo”.