Imad Lahoud évoque plusieurs comptes étrangers au sujet de Jacques Chirac
Publié le 21 juillet 2007 par Exprimeo
L'affaire Clearstream entrera-t-elle dans la logique de la boîte de Pandore ? La question se pose sérieusement avec les dernières déclarations de Lahoud et de Gergorin.
La meilleure défense peut être l'attaque. Lors d'enquêtes, certains accusés en position fragile n'hésitent plus à passer à l'offensive en mettant en cause d'autres parties.
C'est le cas désormais de MM Lahoud et Gergorin qui évoquent, dans une certaine confusion et sans élément précis, l'un "des comptes étrangers" qui seraient détenus par J. Chirac (Japon, Maroc, Liban) et pour l'autre des circuits de décision qui font de ce dossier une réelle "affaire d'Etat".
Les implications de ce dossier sont d'ailleurs telles qu'il apparaît de plus en plus détachable de la fonction donc insusceptible de relever de la Cour de Justice de la République. C'est pourtant cette dernière classification qui, seule, reviendrait à un enterrement officiel.