Même si sur mon bureau, d’étonnants articles de presse s’accumulent, de quoi vous faire part un de ces jours de ma mauvaise foi, de retour de Brest et avant de repartir en déplacement professionnel en milieu de semaine prochaine, je vous propose aujourd’hui de jeter un œil sur quelques extraits sur ce fameux et sulfureux documentaire sur Les Rolling Stones, le mythique « Cocksucker blues » dont on nous parlait depuis des années et que le net nous rend disponible.
Attention, âmes sensibles s’abstenir car ce doc n’est pas une variante des cours de maintien et de savoir-vivre de la Baronne de Rothschild. Une fois dit que, parfois, ce « cocksucker » est pénible, moyen voire sans intérêt, je vous confirme tout de même qu’en le visionnant vous en saurez plus sur la vie des bêtes (de scène).
Toujours à propos des Stones et dans la même veine, le célèbre « A travers l’Amérique avec Les Rolling Stones » de Robert Greenfield jadis édité par les « Humanoïdes Associés » (collection Speed 17) et traduit par Philippe Paringaux est à nouveau proposé au public par les éditions « Le mot et le reste ». Filles évanouies, hystérie dingue, sexe et dope, nuits blanches, Jagger enfermé dans sa piaule à Saint-Louis, Truman Capote vêtu d’une veste en peau de buffle… tout y passe. Je sais bien que le handicap de ce « A travers l’Amérique… » c’est qu’il s’agit d’un livre vous savez ce truc avec des lettres imprimées sur du papier. C’est en tout cas plus qu’intéressant à parcourir en complément de ce « Cocksucker blues » dont vous trouverez la quasi intégralité sur le site youtube.com
Lyon, le 12 octobre 2008