Et puis de toute façon, même si l’exemple français n’a pas l’audience qu’on croit, quelques centaines de milliards d’euros iront regonfler nos économies capitalistes. Ça nous laissera le temps de sortir encore quelques numéros. Mais ce thème de la croissance / décroissance est loin d’être épuisé. Nous ne faisons qu’en esquisser une première exploration avant d’y revenir, tant le thème paraît riche, et vaste, et profus. Cette occidentalisation forcée du monde va-t-elle par ces curieux biais de la crise et de l’instrumentalisation des mauvaises consciences aboutir à une civilisation universelle différente ?
Sommes-nous condamnés à un “développement durable” qui reproduit surtout les mécanismes du marché ? Plus que jamais avides de bonnes questions, laissant aux politiques les réponses toutes faites, toutes cuites,…