Les deniers de l'Eglise de France sacrifiés sur l'hôtel de la spéculation
Publié le 17 octobre 2008 par Richard Kirsch
En matière de finances, Dieu n'épargne personne.
Mes biens chers frères internautes et chères frangines internénettes, en ce deuxième week-end avant la Toussaint, ayons une pensée compatissante pour le diocèse de Paris, lui aussi touché par le mal.
L'institution a pêché, elle est aujourd'hui punie , punie d'avoir boursicoté. Par Satan ! Son budget comptait en effet des placements sans risque plutôt pépères mais aussi des actions ! Diable. Résultat, la crise boursière lui a fait perdre virtuellement 25% de ses économies. Par Odin !
Les deniers de l'Eglise de France sacrifiés sur l'hôtel de la spéculation. Que reste-t-il à faire ?
Bon, mon frère , je te rends le livre des comptes du diocèse , faudra arrêter la loterie divine et faire mieux la prochaine foi >>>>>>>>>>>>>>
Rien sinon , prier et se repentir pour que les maléfices boursiers s'éloignent des placements diocèsiens et que les brebis égarées sur la voie du profit recouvrent leurs dividendes. Alors ami internaute , comme moi, enlève les doigts de ton gros nez et
place tes mains jointes sur le clavier et tape alt+Pomme-esc afin que s'éloigne de nous la courbe infléchie du CAC 40 mais aussi le spectre du besoin de tous nos frères connectés de l'Eglise de France.
Car n'en doutons pas, Dieu dispose du fichier de TOUS les pêcheurs-boursicoteurs, une sorte d'Edvige Céleste personnel . Et lors du jugement dernier, croyez-moi, ça va mal très très mal se passer.