La conservation UHT des labo DERMATHERM

Les conservateurs (dont les fameux parabens) impose la réflexion sur leur utilisation. La question de leur suppression dans les formulations cosmétiques se pose pour toutes les marques, de manière plus ou moins évidente. Alors comment résoudre l’équation de conservation nécessaire à tous produits d’hygiène et de soins ? Aujourd’hui des alternatives existent déjà, d’autres ouvrent de nouvelles voies. Lesquelles ? Au cœur de l’opposition « nature » et « chimie » comment trouver la sienne ? Les laboratoires Dermatherm ont trouvé la solution …

On connaissait le lait UHT. Maintenant, il existe aussi des crèmes de jour stérilisées UHT (Ultra-haute température). A l’origine de ce brevet, Didier Lopez, Président Directeur Général de CLTech et des Laboratoires Dermatherm basés à Alès.

Tout nouveaux sur le marché des dermo-cosmétiques, Dermatherm comptent bien s’imposer auprès des consommateurs toujours plus demandeurs de naturel. Début 2007, les laboratoires DERMATHERM dédiés à la première ligne de soins stérilisés UHT pour toutes les peaux, même les plus réactives. Fin 2007, les laboratoires DERMATHERM obtiennent la certification Ecocert et le label Cosmebio.

A savoir que Cosmebio autorise certains conservateurs de synthèse puisqu’aucun conservateur n’est naturel, oui il existe pas mal de produits naturels pouvant jouer un rôle dans la conservation mais qu’ils n’ont pas l’appellation “conservateur”. Le premier exemple qui me vient à l’esprit est la vitamine E (trocophérol) qui joue le rôle d’antioxydant pour les cosmétiques (et pour notre peau) mais qui n’a pas le “statut” de conservateur, même exemple avec certaines huiles essentielles antibactériennes, fongicides… Mais il est bon de savoir que la dose utilisée en cosmétique (bio) n’est pas assez suffisante pour poser de réels problèmes. Le benzyl alcool par exemple est accusé d’être irritant pour la peau, il est cependant autorisé en cosmébio…