C’est la 2ème fois que je goute cette cuvée après un bon 2004 cette fois-ci c’est 2002 qui m’est servi à l’aveugle.
La bouteille est carafée 1H avant le service.
La robe très claire au départ va gagner en intensité à l’aération pour arriver à un jaune citron soutenu.
La tension au début de la dégustation est importante , le vin est assez tranchant, un peu réduit.
En se réchauffant légèrement et surtout grâce à l’oxydation dûe à l’air ce vin va prendre de l’ampleur en bouche et délivrer des notes fruitées (nettes) en abondance.
Je suis sur la bonne appellation quand vient mon tour de donner une réponse mais n’imagine pas les Perrières.
Pour mon cadre de référence ce terroir donnent des vins plus sur des arômes de pierres et une fraicheur plus importante encore sans compromis.
Ceci étant cette bouteille délivre du plaisir et c’est bien ce message le plus important à mes sens lorsque je goute du vin.
Bouteille supérieure au 2004, ce 2002 une fois encore montre la qualité, le potentiel et la bonne tenue des Bourgognes Blancs en général.
Jeune encore, si vous en ouvrez aujourd’hui n’hésitez pas à prévoir une carafe