Tout doit disparaître.

Publié le 16 octobre 2008 par Didier Vincent

Jolie musique de Vivaldi pour une symphonie jubilatoire de démolitions. D'habitude, ce genre de compilation est "mise en valeur" par une bande son heavy métal, ou encore speed core ou skate core (comme les ralentis sont encadrés de musique pseudo planante, new age ou drum n bass atmosphérique zzzzzzzz).
Cela donne une nouvelle vision des 4 saisons. Une bonne valse de Vienne n'aurait pas été malvenue non plus (épargnez nous les sempiternelles Walkyries vulgarisées par Coppola)
Donc, grâce à cette gracieuse musique gracile, on n'est pas effondré à la vue des cette revigorante succession pyrotechnique de démolitions.