Un méga Fish & Chips, de l’eau gazeuse et un wifi qui déconne sans compter un méchant retard de l’avion plus tard, me voilà de retour. Quel retour en effet, c’est la première fois que je subis le retard d’un avion et fallait que cela tombe sur ce “week end” de rêve, la campagne organisée par Vanksen pour Easyjet. Dommage en effet de devoir passer plus de 1h47 à attendre pour rentrer en Suisse et courir pour chopper le dernier train pour Lausanne. Dommage de vivre cela pour quasi effacer le souvenir de plusieurs journées sympa à vivre presque comme un londonien (le tube n’a plus de secret pour moi!) et de faire sortir ce vieil adage (toujours d’actu) “le bon marché est toujours trop cher” Oui, je sais, je ne les ai pas payé ces billets et même que j’en ai reçu un de Sandrine Szabo (big thank again to you) pour me rendre sur Londres. Ok, ce n’était pas le week end que j’avais imaginé pour remporter le big prize de la campagne ready to leave. Ok, c’est super cool de recevoir des billets d’avion gratuits, ça passe toujours bien mais dommage tout de même de n’être pas aller plus loin à faire que chaque week end de rêve rédigés par ci par là voient le jour comme ils avaient été imaginés. J’arrête ici de taper sur Easjet et vous parlerais que des points positifs.
Tout d’abord, de quoi me faire changer d’avis sur la compagnie, tout le personnel rencontré (Suisse ou anglais) était vraiment pro, agréable et à l’écoute, cela change de toutes les autres fois.
Hormis ce retard, tout s’est bien déroulé et l’ambiance à bord est (re)-devenu agréable. Amusant aussi le coup de la cheffe de cabine qui se verrait bien offrir un parfum parce que c’est son anniversaire. Sympa comme astuce pour détendre l’atmosphère d’un avion retardé.
Ce que l’on peut manger à bord (tout en le payant, hé oui!) est pas trop mal pour vite se couper la fin mais sans plus. Nouveau pour moi: le choix de produits dispo à la vente, l’offre s’étoffe semble-t-il.
Pour tout de même revenir sur le retard de ce dernier avion de la journée, chers dirigeants Easyjet: jouez la carte de la transparence, dites nous tout simplement la vérité quand il y a un blème, même si c’est pour nous dire que chaque fin de journée c’est la même chose et que tous vos avions sont en retard parce que la file d’attente ou le retard accumulé en journée se reporte sur le tout dernier vol. C’est tellement plus simple de dire franchement les choses, essayez !