L’incertitude planait toujours sur la possibilité de réunir Russes et Géorgiens dans la même salle du Palais des Nations de Genève, mercredi à quelques heures seulement de l’ouverture prévue de “discussions” sur le conflit entre Moscou et Tbilissi.Le président géorgien Mikheïl Saakachvili a tendu encore l’atmosphère en qualifiant mardi à Bruxelles les autorités d’Abkhazie et d’Ossétie du Sud de “nettoyeurs ethnique et de criminels”.
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