Ils sont l’un des trois couples à avoir germé cette année, sous les caméras de « L’amour est dans le pré », dont la troisième saison s’est terminée hier soir (voir encadré).
Lui, 39 ans, éleveur de taurillons dans le Limousin ; elle, 36 ans, fille d’agriculteurs et hôtesse de l’air. Christophe et Sandrine reviennent sur les étapes marquantes de cette rencontre.
Leur participation à l’émission. « Quand j’ai vu le reportage sur Christophe, il m’a interpellée, raconte Sandrine. J’ai aimé son côté très nature, très calme, sa façon de ne pas être extraverti. Le soir même, je lui avais écrit une lettre. C’était une démarche vraie. » Même sérieux de la part de Christophe : « Dans la vie, il faut être prêt, explique-t-il. Moi, au moment où j’ai répondu à l’émission, j’étais prêt à construire un couple. »
Leur première rencontre. Pas un coup de foudre, mais un vrai feeling.
« Même si le speed dating était très stressant, j’ai retrouvé Christophe comme il était dans le reportage, se souvient Sandrine. Là, je me suis dit que je devais être capable d’aller le découvrir dans sa ferme. » « Quand j’ai rencontré Sandrine, je ne me suis pas dit : C’est la bonne, mais : Avec elle, ce serait possible.
J’ai tout de suite aimé sa douceur et son côté dynamique. »
La semaine dans l’exploitation. Du rire… et une complicité naissante. « Je me souviens de parties de rigolade, note Sandrine. Il n’y avait pas de rivalité entre Patricia (NDLR : l’autre fille choisie par Christophe pour découvrir sa ferme) et moi. Christophe s’est montré très gentleman : il a passé autant de temps avec l’une qu’avec l’autre. » Christophe se rappelle particulièrement d’un fou rire : « Un jour, j’ai appelé le cameraman et je lui ai dit : Les filles en ont marre, elles s’en vont !
Quand il est arrivé, Patricia et Sandrine avaient préparé leurs valises… Le journaliste a paniqué. Vingt-cinq minutes après, on a ouvert les bagages… vides ! »
Le déclic amoureux. « Au bout du troisième ou quatrième jour, Patricia m’a dit qu’elle pensait que Christophe me choisirait, raconte Sandrine. A partir de ce moment-là, j’ai eu des doutes… » « Quand Sandrine est rentrée de Limoges où elle avait passé la journée avec ma cousine, je l’ai sentie bizarre, explique Christophe. Ça m’a fait de la peine de la voir comme ça. J’ai compris que quelque chose s’était passé et que je tenais à elle. »
propos recueillis par Catherine Balle
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Posté sur : le vide poches / communicationPosté par : Loïc Lamy
Source : Le Parisien