10 pièges à éviter dans ses candidatures

Publié le 14 octobre 2008 par Claire Romanet


Le site du JournalduNet a listé 10 faux-pas à ne pas faire lorsqu’on est candidat.
Synthèse et commentaires.

1. Je rédige une lettre de motivation de 3 pages.
Effectivement, mieux vaut quelques lignes expliquant bien votre projet professionnel qu’une redite longue et fastidieuse de votre CV.
2. Je me trompe sur l’entreprise.
Mauvais nom d'entreprise, d'interlocuteur, un "Madame" alors qu'on s'adresse à un homme, etc. Cela arrive bien plus souvent qu’on ne le croit. Attention ça énerve !
3. J’élabore un CV que le recruteur ne peut pas lire.
Formats de fichiers fantaisistes, polices de caractères illisibles, effets visuels d'un goût contestable, ... C'est un risque de ne pas faire simple et efficace.
4. J’envoie un CV rempli de jargon.
En ce qui concerne Elaee, ça ne nous posera pas de problème puisque nous connaissons vos métiers.
5. J’arrive à l’entretien les mains dans les poches.
Là aussi, ce n’est pas très judicieux certes (question motivation) mais pas rédhibitoire (à condition d'être parfaitement à l'aise en entretien sans avoir rien amené ni noté).
6. Je pose des questions sur les congés.
Sauf si, bien sûr, vous avez envie que le recruteur face à vous pense que votre niveau de motivation est inférieur ou égal à zéro.
7. Je croise les jambes en entretien.
Avant de savoir maîtriser ce genre d’exercice, pensez juste à respirer, à regarder votre interlocuteur dans les yeux et à sourire, ce sera déjà un bon début.
8. Je continue l’entretien par mail.
Effectivement, autant motiver sa candidature par UN mail après l’entretien est bien vu, autant c’est assez désagréable pour un recruteur de se sentir harcelé.
9. J’avance des prétentions salariales extravagantes.
Ah, c’est souvent l’apanage du manque d’expérience (les jeunes diplômés par exemple) et c’est effectivement dangereux. Une seule règle : avoir préparé la question.
10. Je mens au recruteur.
Là, c’est faute grave c’est vrai. Eliminatoire. Et assez facile à vérifier pour des professionnels dont c’est le métier, attention.

Bon, la liste n'est pas exhaustive, on aurait pu ajouter d'autres généralités, du genre arriver en retard, tutoyer son interlocuteur, demander au recruteur de vous ramener chez vous... Si, si, exemples véridiques ! Des incongruités bien senties et rigolotes qu'on avait déjà évoqué au mois de mars dans un de nos billets.