A en croire Pierre Falcone, Jean-Christophe Mitterrand ou les autres prévenus du procès de l’Angolagate, la vente d’un véritable arsenal de guerre n’aurait eu pour origine qu’un élan “humanitaire” afin de venir au secours d’un pays africain “manquant de tout”.Depuis que les débats sont entrés dans le vif du sujet la semaine dernière au tribunal correctionnel de Paris, le président Jean-Baptiste Parlos tente de retracer la mise en place de ce commerce, qui pèsera 790 millions de dollars de 1993 à 1998, sans autorisation de l’Etat français.
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