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Mise à jour mosaïque #2

Publié le 01 octobre 2008 par Menear
De nouveaux liens ajoutés dans la mosaïque d'Omega Blue ces dernières semaines ou heures (extraits compris) :
Mise à jour mosaïque #2 L'autofictif (blog d'Eric Chevillard)
Enfant laide que tout le monde dans le groupe raillait ou plaignait pour sa disgrâce année après année jusqu’au jour où un étranger survint qui sans plus de façons l’embrassa, nous découvrant du même coup comme elle était devenue jolie… et nos cœurs saignèrent de jalousie par les orbites de nos yeux dessillés et toutes les veines de notre corps pantelant.
Mise à jour mosaïque #2 Tabula Rasa
« Mantra » était un épisode crucial de la guerre entre auteur et personnage, bien plus que le livre du chaos que même son auteur parait y voir. C’était le manuel raisonné d’une ville dont il fallait rendre sens du désordre. « La velocidad de las cosas » serait plutôt un dialogue ou un défi, c’est à voir, qui met en scène auteur et lecteur. Et finalement, sous ses atours bien rangés, il pourrait bien être plus chaotique que son successeur / prédécesseur (selon le pays de publication) de par l’obligation dans laquelle, en quelque sorte, il nous met de décrypter le sens ou en tout cas de faire la lumière sur ce qui nous y est vraiment dit.
Mise à jour mosaïque #2 Cyclocosmia
CYCLOCOSMIA est une revue littéraire semestrielle illustrée, d'invention et d'observation. Elle emprunte son nom, cousu de multiples étymologies imaginaires, à une créature du règne animal qui, de fait, devient son animal-totem majeur : le premier numéro de CYCLOCOSMIA paraît en septembre 2008.
Mise à jour mosaïque #2 Querelle
Hier soir, je me masturbais en regardant Six Feet Under ; quand une vision intracrânienne m’imposa, au centre de mes fantasmes étranges, un visage nouvellement familier qui, seul, retint toute mon attention : celui du mec du bus, qui s’est assis à mes côtés, le jour de la rentrée, frottant sa jambe contre la mienne, sans un regard ; et partageant même destination. Souvent, nous nous rencontrons, de loin, regards elliptiques et toujours souriant : lui et moi ne prenons plus le bus seuls. Serait-ce donc l’aube d’un amour impossible ?.

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