élé ne sert que la propagande de la nouvelle religion Cathodique, les messes médias contrôlent les pensées de nos concitoyens en leur donnant à voir ce qu’ils ont envie : des jeux stupides, du rêve prédigéré. Tout est dans la superficialité et dans l’interminable mensonge de tous ces programmes qui veulent nous faire croire que nous sommes libres de choisir nos vies.
Mais il n’en est rien, ceux qui partent de pas grand chose le savent bien ! Tout est réglé ici : et il est possible dès le plus jeune âge de tracer l’avenir de n’importe lequel de nos bambins rien qu’en se penchant sur la fiche de paie de ses parents. L’illusion de liberté que l’on nous offre est sans doute l’une des plus mauvaises choses qu’il est possible de faire : car à vivre dans cette illusion, on en oublie de se battre pour ce droit le plus élémentaire : disposer librement de sa vie.
La seule matière qui pourrait donner lieu à louanges resterait les progrès de la médecine, or nous savons qu’ils ne profitent pas à tous. Nous savons aussi qu’ils se font au prix de nombreux sacrifices : quel vaccin, déjà, est fait à partir de reins de singes verts et dont les premières campagnes d’inoculation correspondent géographiquement avec les premiers cas de SIDA? Combien de bébés ont-ils déclenché une tuberculose à la maternité avant que l’on admette qu’un test de cutie avant tout BCG était indispensable, même chez le nourrisson? Combien de victimes du trafic d’
étaient aussi les deux plus riches. Ce qui est constaté ici est hélas le lot de toute terre où notre société étend son joug. Or c’est un mensonge cachant une vérité éclatante qui, là encore, nous viens d’un lointain passé :