Sûr, la lecture promet d'être dure à digérer. D'autant que la liste des denrées ayant trop de cette charmante molécule est évidemment longue. L'article, d'ailleurs, y va de ses explications avec plein de mots à beaucoup de syllables, y'a même un tableau, des résultats d'une étude, tout ça tout ça. La fin, dans tout ce contexte, est tout simplement succulente : pas d'affolement, il est écrit. Céder à la psychose de l’acrylamide est inutile. Rien ne doit nous arrêter de manger des frites ou des aliments cuits. Depuis la nuit des temps, depuis que l’Homme a commencé à cuire sa viande, il consomme de l’acrylamide. Le risque n’a pas augmenté ces dernières années et n’augmentera pas subitement, tout est question d’équilibre et de bonnes pratiques alimentaires. Ouf, ça va mieux en le disant !
Pour mémoire : au début, l'article évoquait des recherches et une nouvelle molécule...
Par curiosité : depuis la nuit des temps, l'homme mange des frites ? ;-)