"Peut-être parce qu’elle a grandi dans les pas nomades
d’un père diplomate, elle ne se cantonne ni à la musique
du Mali, son pays d’origine, qui pourtant l’inspire ; ni à la
« world music ». Elle puise là où lui semble bon, du côté du
jazz américain et du rock aussi, pour se forger son style à
elle. elle chante The man I love des frères Gershwin, elle
chante une « Lady » du Nigeria… À vingt-sept ans et en
trois albums à peine, Rokia Traoré s’est imposée comme
le talent le plus étonnant et le plus précoce d’Afrique
de l’Ouest."
la suite et source à la page : http://www.legrandr.com/spip.php?article148