Vous connaissez le principe de la note d'aujourd'hui, je continue à réconter quatre trucs totalement sans intérêt à mon propos, comme si, parce que je suis blogomachinaute, ma vie et mon expérience acquéraient une valeur supérieure, prototypique voire universelle. Alors qu'on sait bien que pfffff*. Ah, évidemment, il faut que je précise que c'est le lapin qui m'a forcé.
Quatre émissions ou films que je regarde
Bon, déjà, je regarde peu la télévision, voire de moins en moins. Mais bon.
N'ayons pas peur des mots. Une émission de débats sur Itélé, avec des intervenants plus ou moins intelligents, mais je vous conseille surtout de regarder quand il y a Philippe Tesson. J'en profite ici pour témoigner de mon admiration à ce type inteligent et cultivé, brillant et provocateur.
La téléréalité américaine. Oui, je sais, c'est très varié comme goût. Parce qu'on ne fera jamais aussi bien. Au dessus de tout, je place Famille ou vous aide, où toute une équipe rase et reconstruit la maison d'une famille de désespérés, tout en les normalisant (écran plasma, déco hypra-hideuse, frigo américain etc.), avec l'aide de triplées blondes et bêtes, d'une décoratrice d'intérieure qui ne sait pas quoi inventer pour faire plus laid qu'avant, d'un chef de chantier miam mais pas autant que le présentateur.
Ford Boyard. Non, je déconne !
Ah, on pouvait mettre des films aussi ? Alors mon préféré, Some like it hot.
Quatre choses que je fais sur le net
Ecrire mon blog.
Lire les blogs.
Commander des livres et des disques (bah oui à la fnouc ils sont trop chers et puis de toute manière ils vont arrêter).
Lire le journal. J'ai vraiment rien trouvé à dire dans cette catégorie.
Quatre lieux où je suis allé en vacances.
Mexique, plus exactement le Yuacatan. Les ruines et les petites maisons Pepsi et Coca (résumé subjectif).
New York, le pire voyage de ma vie.
Cuges-les-Pins, c'est près d'Aubagne, avé les cigales.
Santiago (de Compostelle), bon, c'était pour le mariage de mon frère mais tout de même.
* Argument, vous l'aurez noté, d'une grande force. J'aurais pu tout aussi bien dire que Sartre considère qu'il ne nous arrive jamais d'aventure, c'est juste la manière de raconter sa vie qui la rend aventureuse (in Les mots).