Jolies, le
L'une des autres, c'est la magnifique idée très civique d'une "une amnistie fiscale" de nos « compatriotes qui accepteraient de rapatrier leurs capitaux ». Une prime aux tricheurs, en somme. On suce le pauvre épargnant et le petit actionnaire. Et on récompense le contribuable tricheur... Le « bouclier fiscal », déjà, n'était--il pas destiné à rapatrier des capitaux qui font pousser des fleurs sur le rocher de Monaco, font le bonheur des petits Suisses et nourrissent les saints des paradis bien terrestres où les lessiveuses d'argent mal propre fonctionnent à temps plein ? Elle a déjà bon dos la « crise bancaire et financière ».