INTRO
Segment en entrée de avec une Vicky blessée en compagnie de CHavo
Big Show arrive et défie HHH, Kozlov arrive mais finit par fuir devant le géant !!
1 er combat
BRIe Bella bat Natalia
2eme combat
Non-title match : Truth Killings bat Shelton Benjamin
3eme combat
Jeff Hardy bat MVP, Kozlov arrive et le détruit
4eme combat :4 contre 4 :
The COlons and Jesse, Festus battent Hawkins, Ryder, Kenny et Braddock
5eme match
Khali pulvérise 3 jobbers
main event
No contest entre HHH et le Big Show suite à l'intervention du Taker qui s'en prend au géant !!
Kozlov arrive et s'en prend à HHH !! Hardy arrive pour sauver HHH mais NON !!!!
Il se retourne contre HHH et lui porte son twist of fate !
Poule de relégation:
Cette phase se dispute en 2 temps. Les 4 dernières équipes de l'élite (Limoges, Vichy, Lyon et Berck) se rencontrent en match aller-retour. Les 2 derniers sont rélégués en division inférieure alors que les 2 premiers se qualifient pour une 2ème poule où ils doivent croiser le fer avec les 2 premiers de N2. Dans ce nouveau groupe, les équipes ne se rencontrent qu'une fois en terrain neutre et les premiers restent ou intégrent l'élite tandis que les 2 derniers sont relégués à l'étage du dessous.
Lors de la 1ère phase, dite poule des barragistes, Limoges se baladait remportant 5 de 6 matches. Seul un nul concédé à Vichy sur un lancer-franc du sénégalais Kaba (68-68) empêchait le CSP de réaliser le parcours parfait. Si ce nul fut sans concéquence pour Limoges, il n'en fut pas de même pour les 3 autres équipes en course. En effet ces équipes se neutralisèrent en remportant toutes un match dans les confrontations directes. Aussi ce match nul arraché par la JAV fut totalement déterminant puisqu'il qualifia l'équipe pour la 2ème phase, dite matches de barrages, et condamna donc Lyon et Berck à la N2.
A Compiègne, Limoges, Vichy, Avignon et Reims se disputaient les 2 tickets pour l'élite. Vichy craquait contre les 2 pensionnaires de N2 alors que Limoges faisait sans problème respecter la hiérarchie et assurait du coup son maintien. La 2ème place qualificative se jouait dans le match Avignon-Reims que les joueurs du vaucluse remportaient 76-69. Limoges pouvait lâcher un soupir de soulagement car comme l'affirmait le président Popelier, "nous marchions de toute évidence sur de la porcelaine. Notre situation était fragile. Il fallut Moltimore, Apollo Faye et toute l'équipe pour s'en tirer honorablement."
Les équipes classées entre la 5ème et la 10ème place devaient également disputer des matches de classement. Les 6 équipes étaient divisées en deux groupes de trois équipes. Caen et Orthez remportaient les 2 groupes pour se classer au final respectivement 5ème et 6ème du championnat, places qu'elles occupaient déjà après la saison régulière.
La Finale à Nantes:
Les double champion de France en titre tentaient de réaliser la passe de trois, un exploit seulement réalisé alors par l'ASVEL de 1955 à 1957. Mais les tourangeaux, premier de la phase régulière et de la poule finale, et vainqueurs de trois des quatre confrontations directes partaient avec un léger avantage. La finale fut un véritable combat et l'enjeu prit clairement le pas sur le jeu. Grâce à la formidable adresse de Gérard Brun (6/7) en première mi-temps, l'ASPO prenait les commandes pour ne plus les lâcher. La tension montait, le jeu était dur et les fautes pleuvaient. La maladresse mancelle aux lancers-francs condamnait le "Moderne" a abandonné sa couronne (72-66). En remportant les 3 phases, saison régulière, poule finale et finale, l'ASPO Tours avait bien mérité de soulever son 2ème et dernier titre de champion de France.
Ca vous a plu? Je trouve ça intéressant de se replonger dans ce basket au final bien différent de ce qu'il est aujourd'hui. L'ambiance dans les salles avait l'air d'y être beaucoup plus chaude, voire trop chaude (avec 3 incidents majeurs conduisant à des suspensions de salle). Pour la formule du championnat, le sous-titre de cette saison aurait pu être: "pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer". On verra dans le prochain article un autre changement majeur, qui est celui des résultats dans les coupes européennes. Si 1980 fut loin d'être la plus belle année des clubs français en Europe, les résultats à cette époque étaient bien meilleurs qu'aujourd'hui (comment ça y a pas de mal!). Et puis ça peut pas faire de mal d'apporter une petite contribution à la mémoire du basket français, mémoire trop peu développée sur le net à mon goût.