La CRISE elle est bien là, tout le monde en parle, des pancartes “Maison à vendre” fleurissent, des Traders sont liceniés, des Institutions comme Fannie Mae et Freddie Mac s’écroulent, et le contribuable payent.
Les scénarios Barjaveliens font surface, bientôt ce sera MadMax.
Ce petit court-métrage vient à point nommé en réhabilitant le pauvre, l’intouchable, celui sur qui personne ne mise. On y voit un patron venir chercher ses employés de la journée, comme sur les place publiques au 19è siècle. Tout simplement mortel.
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