Les Islandais demeurent pour l’instant solidaires face à la tempête financière qui menace l’économie de l’île volcanique mais le mécontentement grandit à l’encontre du parti du Premier ministre, à l’origine de la libéralisation du secteur financier.”Face à la crise, la population se montre solidaire car ce n’est pas dans la nature des Islandais de protester. Ils sont optimistes presque par nature”, explique Gunnar Haraldsson, directeur de l’Institut économique d’Islande.
Source flux