Nous sommes soumis à un
régime médical dirigiste et ultra protecteur. Il est grand temps de prendre conscience que nous sommes manipulés par des laboratoires aux intérêts financiers colossaux, et de prendre notre santé
en mains.
"Si quelqu'un te demande de le guérir, demande-lui s'il est prêt à supprimer les causes de sa maladie" (Sénèque).
Notre ministère de la santé dépense environ un milliard d'euros par jour pour assurer les soins de la population. Malgré l'énormité de cette somme, nous sommes de plus en plus malades.
La médecine préconisée par le ministère de la santé (ou plutôt de la maladie) semble impuissante à guérir autant les maladies chroniques (dont souffre 1/3 des français) que les cancers,
qui tuent un français toutes les 4 minutes.
Il est évident que les français, qui sont les plus gros consommateurs de médicaments en Europe, se porteraient mieux et consulteraient moins s'ils ne consommaient pas autant de drogues chimiques,
et, à terme, toxiques pour leur organisme, notamment le foie.
Les discours lénifiants sur la qualité de notre médecine et de notre "chère" sécurité sociale ne reposent que sur des mensonges et une manipulation frauduleuse des chiffres.
Si notre médecine chimique était tellement performante, il devrait y avoir de moins en moins de malades, alors que c'est l'inverse qui se produit ; l'état de santé général des français se dégrade
d'une génération à l'autre au lieu de se diriger vers le "progrès".
Il serait donc grand temps de chercher à comprendre pourquoi notre santé se dégrade autant, plutôt que d'essayer sans cesse de récolter de nouveaux fonds pour améliorer une situation qui en est
au point mort depuis des années.
Certains d'entre nous espéraient que les pouvoirs publics chercheraient un jour à soigner différemment, puisque la méthode atuelle n'est visiblement pas la bonne, et à faire également de
sérieuses économies (ce qui n'est pas du luxe quand on connaît le gouffre de la sécu). Il n'en est rien, au contraire.
On incite de plus en plus les "consommateurs de santé" à multiplier
examens et vaccinations, et la pression se fait de plus en plus forte à l'encontre des médecins qui soignent et guérissent autrement.
Depuis longtemps, l'homéopathie, que l'on a amputée de 70% de sa pharmacopée, est sur la sellette alors qu'elle répond à la demande de 40 % des français, et que des centaines de milliers de gens
à travers le monde se soignent ainsi et en sont satisfaits.
En outre, elle ne coûte que de très modestes sommes qui ne risquent pas d'agrandir le fameux "trou" de la sécu.
Ne parlons pas de certaines thérapies dites douces, qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais dont la seule évocation déclenche des sarcasmes de la part de gens qui prétendent toujours
tout "savoir", mais qui en réalité ne connaissent rien de ce qu'ils critiquent.
La vérité est que l'homéopathie et les médecines alternatives représentent un réel danger pour l'industrie pharmaceutique puisqu'elles ne coûtent pas cher, n'ont pas d'effets secondaires,
éliminent en grande partie les drogues allopathiques dont les effets délétères ne sont plus à démontrer. Et surtout, responsabilisent le patient au lieu de l'infantiliser.
Les médecines alternatives, alors qu'elles font leurs preuves dans le monde entier, sont ainsi écartées et leurs études discréditées par les gardiens du dogme allopathique, qui détiennent tous
les postes du milieu médical, se contentant de soigner les manifestations et non les causes.
Comment expliquer que certains médicaments naturels à base de plantes soient interdits en France alors qu'ils sont autorisés et légalement prescrits dans d'autres pays, notamment
européens, et qu'ils sont de surcroît efficaces ?...
Retrouvons notre bon sens
La confiance accordée de nos jours au corps médical relève plus du domaine
de la foi que de celui de la raison. On écoute les diktats des "experts médicaux", distillés par le biais des médias, sans émettre la moindre réserve quant à leur validité, oubliant combien
ceux-ci ont pu être démentis et se retrouver au coeur de certains scandales. On a pu constater la somme énorme de mensonges proférés par ces dits "experts" à chaque fois qu'il y a eu un scandale
médical.
Le seul moyen de s'en sortir sans trop de dégâts est donc de quitter le navire avant qu'il ne sombre, et d'essayer de se soigner autrement, et surtout, avec discernement. Il est primordial de
prendre sa santé en mains ; cela passe d'abord et avant tout par une vie saine et active, en mangeant des produits naturels et en évitant au maximum toute consommation de produits chimiques, dont
la nocivité pour l'organisme n'est plus à démontrer.
Nous devons ensuite refuser le lavage de cerveau infligé quotidiennement par les médias, ne consulter un médecin que lorsque cela est vraiment nécessaire, ignorer la peur soigneusement entretenue
par les laboratoires, pour lesquels le malade n'est qu'un généreux consommateur de leurs produits. Nous sommes capables de savoir mieux que quiconque ce qui est bon pour nous, et nous devons
cesser de faire confiance aux "experts", qui ont montré ces dernières années leur immense incompétence. C'est avant tout à nous et à ce que nous dit notre coprs que nous devons faire confiance,
et non à quelqu'un d'extérieur qui ne nous a jamais vu de sa vie.
Il ne faut par ailleurs pas hésiter une seconde à avoir une attitude ferme avec son médecin traitant, et oser discuter ouvertement avec lui du meilleur moyen de nous soigner. S'il refuse le
dialogue, il ne faut pas hésiter à changer de thérapeute, sans regrets. Un médecin qui n'est pas capable de dialoguer et d'écouter les attentes de son patient ne peut pas être un bon médecin.
C'est un dictateur.
Etre libre de choisir
N'oublions jamais que le médecin a l'obligation de
"recueillir le consentement du patient préalablement à l'accomplissement de tout acte médical", qui découle du droit de toute personne au respect de son intégrité physique.
Le citoyen doit donc être informé, et non plus considéré seulement comme un patient que l'on infantilise. Il doit pouvoir avoir une réelle liberté de choix thérapeutique, même si cette liberté
porte atteinte aux puissants intérêts financiers de l'industrie pharmaceutique.
N'en déplaise à nos autorités scientifiques, les citoyens revendiquent enfin leurs droits fondamentaux, et aspirent à savoir ce qu'ils mangent, à appréhender les effets néfastes des
médicaments qu'on leur prescrit, à connaître le contenu précis d'un vaccin, et gérer eux-mêmes leur corps et leur esprit.
Il faut également rester ferme en ce qui concerne les vaccinations non obligatoires mais "fortement conseillées", car elles représentent un pactole pour les laboratoires, et ne sont jamais
nécessaires, ni même utiles. N'oublions pas que l'obligation vaccinale, dont personne n'a prouvé l'innocuité ni les bienfaits, a été imposée par les laboratoires, et que toutes les expertises
sont contrôlées par les fabricants de vaccins, qui sont donc à la fois juges et parties.
on vaccine contre les microbes, alors que l'on sait que ces derniers mutent, c'est-à-dire intègrent l'information qui était sensée les tuer.
Les soi-disant résultats positifs des vaccinations ne consistent qu'en un changement de terrain. La présence d'anticorps est la marque d'une impossibilité d'adaptation, ce qui explique pourquoi
les "bienfaits" de la vaccination ne jamais transmis à la descendance, contrairement à la victoire naturelle sur la maladie, qui constitue l'adaptation.
De surcroît, les personnes qui refusent les OGM dans leur alimentation acceptent, sûrement sans le savoir, des vaccins qui en contiennent et sont directement injectés sous la peau, sans passer
par les filtres naturels de la digestion. Certains fragments d'ADN peuvent générer des mutations à moyen ou long terme, et occasionner ainsi des effets cancérigènes.
Combien de temps a-t-il fallu pour connaître les effets désastreux de certains médicaments ? Comme par le passé, on entendra alors les responsables déclarer : "en l'état des connaissances de
l'époque, personne ne pouvait prévoir ce qui allait arriver"... Personne ne "pouvait", ou ne "voulait" ?... De toutes façons, en France, les responsables ne sont jamais coupables, et encore moins
punissables.
Soyons donc plus raisonnables et responsables que nos dirigeants "experts",
gérons nous-même notre santé, posons-nous les bonnes questions, et, surtout, bannissons la peur, qui est une très mauvaise conseillère, et l'instrument de base de toute dictature. Car la
prévention actuelle, préconisée par nos instances de santé, consiste surtout à distiller la peur sous toutes ses formes : crainte du cancer, du sida, ou du simple cholestérol, terrorisme vaccinal
sous couvert de menaces épidémiques fantaisistes et infondées scientifiquement. On nous répète sans cesse que "tout bien portant est un malade qui s'ignore", que nos vies ressemblent à un
parcours parsemé d'embûches et de catastrophes programmées, et toutes ces craintes se répercutent évidemment sur notre santé.
Les intérêts des patients sont souvent opposés à ceux des lobbies, et ne font bien évidemment pas le poids. Le médecin, parfois sans en être conscient, est un trait d'union entre son patient et
les grands laboratoires. Comment ? Par le biais des visiteurs médicaux, payés par les grandes firmes pharmaceutiques.
(Extrait de conférence de Sylvie Simon ; source : Liberté Santé )