Love is a burning thing
Love is a burning thing - Dancer on a chair (video taken in the studio)
Références musicales : Vitalic, Prodigy, Chemical Brothers, Primal Scream
Love is a burning thing - 100 Faces (part 1) (mp3)
I fell for Love is a burning thing at the first listen. I heard Dancer on a chair (see video) and that was it. They remain one of those bands I have praised for a long time and which has not released any record yet.
There is a bunch of despair in their latest song 100 faces. A long track. Here is the first part. The rest is here. Musically speaking, it sounds like Vitalic high on whatever.
There are songs to launch parties, songs to dance on. This one is for the after. No point listening to it during daylight. This is for the night. When you're still drunk and back from a party. Where you're a piece of junk.
They have played in Hultfreds, been the opening band of Juvelen and built a perfect bridge between rock and electro. In one single word : obsessive.
[totally AbsRecommended]
Pour mes compatriotes français
Je suis tombé amoureux de Love is a burning thing dès la première écoute de Dancer on a chair (voir vidéo). Il s'agit d'un de ces groupes dont j'ai vanté les mérites il y a déjà longtemps et qui n'a pas encore sorti de disque.
Il y a pas mal de désespoir dans leur nouveau titre 100 faces. Un long morceau. En voici ici la première partie. Le reste est là. Musicalement, c'est du Vitalic défoncé à je ne sais quoi.
Il existe des morceaux pour lancer une soirée, des morceaux pour danser. Celui-ci est pour l'after. Cela ne sert pas à grand chose de l'écouter de jour. C'est de nuit qu'il faut le jouer. Lorsque vous êtes encore saoul, de retour de soirée. Lorsque vous êtes un légume.
Ils ont joué à Hultfred, ouvert pour Juvelen et bâti un pont idéal entre le rock et l'électro. En un mot : obsessionel.
[totalement AbsRecommandé]
cemment, incarné le cas parfait du délit d'outrage aux bonnes mœurs, qui a sanctionné et sanctionne toujours la mise en scène de la sexualité. Les manifestations de l'homosexualité dans la culture et les médias ont donc longtemps été vouées à une plus ou moins grande clandestinité.