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bruxelles.blogs.liberation.fr - Si Nicolas Sarkozy affirme
qu’un « nouveau monde » doit naître de la
crise financière, monde qui verrait fleurir un « capitalisme
d’entrepreneurs et pas de spéculateurs », ses partenaires européens, eux,
sont un tantinet plus terre-à-terre, davantage préoccupés d’éteindre l’incendie
bouté par les Américains à la planète finance que de faire des plans sur la
comète.