Les dirigeants européens partagent les craintes américaines. Nicolas Sarkozy a pris « l’engagement solennel » que l’État garantirait « la sécurité et la continuité » du système bancaire et financier français s’il était menacé par la crise : « Je n’accepterai pas qu’un seul déposant perde un seul euro parce qu’un établissement financier se révélerait dans l’incapacité de faire face à ses engagements ».
Le gouvernement américain propose de mobiliser 700 milliards de dollars pour racheter les créances pourries des banques : il est dans son rôle de pompier, comme quand il envoie ses pompiers éteindre des feux.
Il y a un péril systémique : « L’économie entière est en danger », a dit le président Bush. Si les faillites en série de banques ne sont pas stoppées, non seulement la distribution de crédit sera menacée, mais aussi le patrimoine des Américains. Ce sera une crise économique majeure, qui s’étendra au reste de la planète, vu l’imbrication des systèmes financiers.
Les dirigeants européens partagent les craintes américaines. Nicolas Sarkozy a pris « l’engagement solennel » que l’État garantirait « la sécurité et la continuité » du système bancaire et financier français s’il était menacé par la crise : « Je n’accepterai pas qu’un seul déposant perde un seul euro parce qu’un établissement financier se révélerait dans l’incapacité de faire face à ses engagements ».
Les dirigeants européens partagent les craintes américaines. Nicolas Sarkozy a pris « l’engagement solennel » que l’État garantirait « la sécurité et la continuité » du système bancaire et financier français s’il était menacé par la crise : « Je n’accepterai pas qu’un seul déposant perde un seul euro parce qu’un établissement financier se révélerait dans l’incapacité de faire face à ses engagements ».