Magazine
La température peu clémente de ces dernières semaines a incité à remettre le chauffage dans les habitations et depuis peu dans mon bureau. Habitant en immeuble, je n’ai pas à me soucier de faire remplir une cuve à mazout ou faire le plein de bois pour la cheminée. Il n’en a pas toujours été ainsi. Au milieu des années cinquante, j’habitais Paris, au dernier étage sous les toits en zinc d’un immeuble quelconque de la rue Richer. Bâtiment sans ascenseur, un bel escalier montait jusqu’au palier du dessous, avant de se poursuivre plus modeste jusqu’à notre étage. A une époque plus…