D’ici peu, nous mangerons tous du kangourou, qui remplacera progressivement le boeuf et le mouton dans nos assiettes, pour réduire les émissions de gaz à effet de serre émis par les ruminants et qui sont responsable, pour cette raison, du réchauffement climatique, au même titre que, par exemple, la circulation automobile.
Cette prévision est extraite d’un rapport scientifique validé par le conseiller environnemental du gouvernement d’Australie, pays où les kangourous, de la famille des marsupiaux, sont légion, qui souligne que leurs flatulences n’émettent que très peu de méthane grâce à une bactérie qui leur est propre.
En Australie, les bovins et les ovins seraient, selon ce rapport, responsables de 67 % des émissions des gaz à effet de serre et celui-ci suggère de les taxer en fonction du volume de gaz émis, pour inciter la population à manger du kangourou et non plus du bœuf et du mouton.