Elle s’expliquait à propos de la fameuse affaire des taupes de Securitas et rapportait les conclusions de l’enquête menée à l’interne par l’ancien juge Jomini. Selon se dernier, la police cantonale avait bien et bien eu vent de cette affaire, mais par la suite, elle n’avait plus eu d’informations à ce sujet de la part de Securitas.
Lors du journal, interviewée en duplex et sur la place du Château par Cedrinne Vergain, Madame de Quattro déclare : « Oui je suis soulagée. »
Et pourtant, pendant que la ministre parlait, la taupe rôdait … dans son dos. Elle rôdait et s’installait confortablement sur sa place de parc située au pied de la statue du major Davel.
P.S. Après une très longue et minutieuse enquête, je suis en mesure de vous révéler que ce véhicule Securitas peu banalisé est, selon toute vraisemblance, celui de la personne chargée de vérifier que les places jaunes réservées à l’administration cantonale sont bien utilisées par les ayants droit.