Devant près de 400 représentants de la profession et des groupes de presse, Nicolas Sarkozy a déclaré que
la presse écrite française n'avait aujourd'hui pas d'autre choix que de se réformer en profondeur pour survivre.
Il a attribué cette crise à la presse gratuite et à Internet.
"Deux solutions : la presse traditionnelle n'a qu'à se vendre sur Internet, ou être gratuite. Ou alors, on peut supprimer Internet. C'est la solution que je préfère et de loin. Nicolas Princen ne suffit pas à tout
contrôler et je crois bien que sur Internet, on dit du mal de moi et de Carla, ma femme, tellement elle est belle, tellement elle est manequin..."
CC
*************************
Blogs de meufs : Bouche de là. Lulu, arrête ton cinéma.