Dès le lendemain de la diffusion d’une interview dans laquelle il laissait entendre ne pas éprouver de regret pour l’assassinat en 1986 du PDG de Renault, le cofondateur d’Action directe, Jean-Marc Rouillan, a vu sa semi-liberté suspendue jusqu’à une audience sur le fond le 16 octobre.Le juge d’application des peines (JAP) de Paris, compétent en matière de terrorisme, a “rendu une ordonnance suspendant la mesure de semi-liberté de Jean-Marc Rouillan” dans l’attente de l’audience sur le fond qui aura lieu “le 16 octobre”, a annoncé jeudi à l’AFP le parquet de Paris.
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