Stop FESSENHEIM, STOP !
Amies et Amis fluo , bonjour ,
J'irradie de bonheur à la lecture de l'article en référence, 1 000 milliard de dollars grand minimum c'est la facture du démantèlement des centrales nucléaires... qui va payer ?
Le journaliste qui a écrit l'article parle d'héritage !?
Comme tout les héritages ... peut on le refuser ?
Nos parents , on fait mumuse avec les bombes atomiques afin de pouvoir gaspiller de l'énergie, sombrer dans l'insouciance et détruire en totalement partie notre avenir... maintenant nous allons devoir payer avec nos enfants, petits enfants, etc etc etc et pendant très longtemps, la facture de l'énergie la plus propre du monde .
On peut encore noter le cynisme de nos gouvernants, des dirigeants d'EDF, d'AREVA etc. qui nous promettent encore un radieux avenir nucléaire.
Cynisme nucléaire que la FRANCE SARKOZYSTE exporte et veut exporter à tout va dans les pires endroits de la planète ... à ce rythme, les Talibans seront reçus à l'Elysée et repartiront eux aussi avec leur centrale nucléaire en cadeaux BONUX !
L'énergie nucléaire reste un marché "très juteux" à très court terme avec une contre-partie des emmerdes à très long terme.
Ici en ALSACE dans le Haut-Rhin, la centrale nucléaire de FESSENHEIM va d'incidents en incidents, le peut de gens qui se mobilisent pour faire fermer la centrale sont dénigrés et passent pour des fêlés ...
Ici en ALSACE dans le Haut-Rhin et surtout dans l'agglomération MULHOUSIENNE, Au pays du plan CLIMAT de la CAMSA la priorité actuelle c'est d'abattre une forêt !
A bientôt
Bésitos
Eric Bloggeur Citoyen
PS : "LE SOLAIRE" C'est ta seule chance !
A Brennilis, un chantier en souffrance ouvert en 1985
Brennilis, dans le Finistère, a vu fonctionner de 1967 à 1985 un réacteur à eau lourde de 70 mégawatts. Le démantèlement a commencé en 1985.
Malgré quelques incidents, comme une remontée de nappe phréatique en 2000 et un incendie en 2001, et une opposition locale, le travail a bien avancé.
Mais le Conseil d'Etat a annulé en juin 2007 le décret d'autorisation du démantèlement final.
Le chantier est donc à l'arrêt. "Peut-être n'a-t-on pas fait assez de communication il y a trois ou quatre ans", dit EDF.