Vincent Beauflis
- D'abord un dans le fameux webmanagercenter ayant pour titre :"Crise financière mondiale : une solution islamique ?". En gros, l'auteur mentionne un article signé par éditorialiste français , Vincent Beaufils en l'occurrence et publié dans le magazine "Challanges" qui "est peu suspecte de dérives politiciennes à l’orientale" déclare que «En réalité, et Benoît XVI nous pardonnera, au moment où nous traversons une crise financière qui balaie tous les indices de croissance sur son passage, c'est plutôt le Coran qu'il faut relire que les textes pontificaux. Car si nos banquiers, avides de rentabilité sur fonds propres, avaient respecté un tant soit peu la charia, nous n'en serions pas là». En conslusion l'article mentionne que : «leurs banquiers (des pays du Golfe, NDLR) ne transigent pas sur un principe sacré : l'argent ne doit pas produire de l'argent. La traduction de cet engagement est simple : tout crédit doit avoir en face un actif bien identifié»
- Le deuxième paru dans Bab net ayant pour titre " Augmentation notable dans l'augmentation des Profit de la Banque Ettamouil AL Tounisi Al Saudi- BEST BANK", première banque islamique en Tunisie établie depuis les années 80. L'artcile mentionne que le proft opérationnel a augmenté de 37 % par rapport à l'année dernière (5, 33 million de dollars cette année contre 3, 88 millions de dollars l'année dernière). Une performance difficile à atteindre en ces temps difficiles dans le secteur bancaire
La finance islamique outre le fait qu'elle ne doit pas financer les activés illicites tel que la vente d'armes, la pornographie, la drogue..., elle ne doit pas créer de l'argent sans contrepartie réel. D'un autre côté elle repose aussi sur la notion du partage du risque.
Et comme aussi je l'ai mentionnée dans un précedanst post sur le problème de 9alba dans notre pays, le montant des créances douteuses dans ces banques est nettement inférieur à la normale, peut être que cela est dû à la nature des clients qui sont plutôt porté par la piétée religieuse.
sourcePeut être que nous sommes au début d'une ère financière, le futur nous le dira!