Magazine France
Mais non, puisqu'on vous dit que tout va très bien. Que la France est protégée, gràce à son système, archaîque il ya peu vu de droite.
Cette droite qui avait gagné la bataille idéologique, selon elle.
Pourquoi donc vouloir injecter 300 milliards d'euros dans un système en bonne santé (très relative, disons, pas encore tout à fait mort).
Fillon et Lagarde démentent donc. Je les croient sur parle. De mêm qu'avoir entendu récemment de la bouche (pat écran interposé) d'un de ces duettistes que le gouvernement était près, le cas échéant, ce qui n'arriverait bienb sûr pas, à fournir les efforts nécessaires pour éviter un manque de liquidité au niveau des banques ne m'avait pas vraiment rassuré.
Ce genre d'annonce, faite sur le mode du "on prévient, mais ça n'arrivera pas ", c'est total pipeau, ça veut dire que la tempête fait plus que grossir à l'horizon mais on préfère nier les faits.
En atendant, il se trouve une banque française, qui aurait besoin de 6.5 milliards d'euros, pour éviter les problêmes.
Le Crédit Agricole a lui aussi subi des pertes sèches, et c'est valable pour les petits copains. Pendant ce temps, on renfloue Dexia, à grands coups de fonds publics, un truc qui vaut excommunication chez les néo ultra livbéraux habituellement, mais, là, soyons pragmatiques, pensent-ils. Sauf l'ex boss de Dexia qui lui tient à son parachute doré.
Dernière trouvaille félonesque, euh, fillonesque, taper dans le livret A, dont on vient, opportunment de céder la gestion aux banques, pour financer les PME sur les excédents non affectés au Logement Social, but premier du dit Livret.
Et si on construisait plus de ces fameux logments sociaux pour siphonner, s'il le faut, ces excédents ? Ah, non, pas quand on veut vider la loi SRU de sa substance.
Je suis naïf parfois.
Bah, c'est l'automne et , sur les trottoirs de Wall Street (et de ses pendants), les financiers se ramassent à la pelle (où à la petitez cuillère, le tout dépendant de la hauteur du bureau)