Mon "truc" à moi, est de faire des rappels de bases élémentaires en telle ou telle
circonstance.
L'être humain a tendance de fonctionneer sur ce qu'il cro$it être des "acquis", oubliant de fait toutes règles élémentaires nécessaires à une bonne communication.
Loin d'être ou vouloir être un moraliste (loin s'en faut !) les quelques lignes qui suivent ne seront pas vaines si tant est qu'elles soient prises comme elles doivent être prises.. fun !
L’humaniste interdit à l’homme de s’identifier à une chose.
Cette idée le révulse. Pour mieux en écarter le risque, il décide que le désir d’être une chose n’existe pas et que "l’état de chose" est toujours imposé à un être humain de l’extérieur et par violence.
Moyennant quoi, il se prive d’un outil de compréhension important de la relation de l’être
humain aux personnes et… aux objets.
Construire une culture, c’est d’abord construire un environnement d’objets. Mais en même temps, c’est définir un équilibre partagé, dans un groupe, entre le désir d’être un être humain et le
désir d’être une chose qui habite tout homme.
Question :
Une culture non humaniste n’est-elle pas mieux placée dans la conquête technologique ?
Pour un humaniste, le meilleur ami de l’homme, c’est l’homme.
Pour un non humaniste, c’est son fusil, sa voiture, ou son téléphone portable.
Pour le premier, ce qui importe, c’est la communication interhumaine.
Pour le second, c’est le perfectionnement de ses meilleurs amis.
Heureusement, la culture humaniste sait créer des réserves pour les sujets plus à leur aise avec les objets qu’avec les humains afin qu’ils s’adonnent à leur passion de façon
contrôlée.
C'est aussi simple que cela ....