Magazine Politique
François Fillon prend ses distances avec le discours officiel lénifiant actuel.
C'est une toute autre interpétation de la crise financière que la version donnée ce jour par le Premier Ministre :
1) il confirme le risque de propagation à un ou à plusieurs établissements bancaires Français,
2) il n'exclut pas une menace de faillite de l'un des établissements,
3) il reconnaît que les déficits vont croître de façon sensible.
C'est probablement là le premier language de vérité tenu avec le rappel de fondamentaux techniques incontournables.