Reality business

La mode des reality show aux States a encore de beaux jours devant elle puisque le golf est aussi une thématique avec des compétitions entre des équipes de 2. Personnellement, j’ai ue idée, je pourrai la déposer mais je préfère en parler là pour gagner du temps et éviter de perdre de l’argent… Sur les pas de Trump et de son jeu où des jeunes s’entraînent à devenir des requins de la finance, pourquoi ne pas mettre des candidats sur un projet de remettre un golf français à flots. J’ai vu sur viadeo l’annonce d’un golf dans la région parisienne à vendre (encore un parmi tant d’autres). Il a des hectares de réserve et même la possibilité d’avoir un hôtel. A l’instar des cas de stratégie qu’on étudie en école de commerce, on applique la théorie du cas Pepsi KFC et hop, on a un reality show en terre bien française. Oui, c’est un peu digne de « Kohlanta » dans la difficulté et le dépassement de soi vu la situation du marché français du golf mais on frôle « A la recherche de la nouvelle Star « par celui ou celle qui comme un messie marchera sur les flots de la crise financière pour nous faire un coup de poker et créer Las Vegas Golf aux portes du Paris. Alors si comme au monopoly, vous disposez d’un budget de départ, que feriez-vous en tant que candidat ? Je pense que si je le pouvais, je ferai un Versailles du golf pour attirer les touristes asiatiques. Ils raffolent de la magnificience de nos siècles de royauté et du romantisme de Montmartre. Je m’intéresse à leur culture et comment ils perçoivent la France et les Français depuis un moment. Aïe, ils ont oublié que Louis XVI et les robes à crinoline appartiennent au passé et que Montmartre est rempli de vendeurs à la sauvette, de boutiques de tout genre et de personnes vendant leurs services dans un contexte où les voitures passent et la pollution sévit. On est loin de leurs idéaux alors autant leur offrir ce qu’ils attendent du Paris de leur rêve. Enfin, ce n’est qu’une idée. Autant faire original car pour ce qui est du luxe, on arrivera jamais à égaler les projets pharaoniques de Dubaï ou d’autres mégalopoles où l’argent coule à flots. A part ça, il y a des preneurs pour le golf à vendre ?