La suite du compte-rendu (et fin) : bonne lecture.
Dimanche après midi, nous étions à Paris vers 13h, le temps de prendre le métro, nous sommes arrivés Avenue Henri IV vers 13h30. A nouveau, temps magnifique, je me sentais « à la maison ». J’avais prévenu des amis que je venais, et aussi Bénédicte (elle n’a pas pu venir, car elle était occupée ce jour là). A l’entrée de la Caserne des Célestins, plusieurs gendarmes demandaient qu’on ouvre les vestes, et qu’on leur montre les sacs, j’ai ouvert ma veste et mon sac « banane » (sourire). C’était bon (ouf !) : j’ai été autorisé à entrer. Dans le hall, un garde donnait des programmes, je lui ai souri, et l’ai remercié à plusieurs reprises. Nous sommes entrés, et avec J. nous avons regardé le programme. Un spectacle venait de terminer, nous avions un moment avant un autre. Ce qui m’intéressait c’était de voir les motocyclistes…
J’avais déjà visité la Caserne des Célestins lors des portes ouvertes en 2006, j’ ai retrouvé les mêmes stands et j’ai reconnu les lieux. Nous avons fait un tour, profité des différents stands, j’ai pu admirer les belles bottes des gardes, qu’ils soient cavaliers, motards… (des photos seront bientôt en ligne…). J’ai eu un coup de téléphone, et c’était Eric92 qui me disait qu’il allait venir vers 14h30. Nous avions un moment encore, nous avons continué à regarder les stands, et les différentes activités proposées. Eric est arrivé, et depuis que nous échangions, nous n’avions jamais l’occasion de nous rencontrer. A nouveau, nous avons visité le site, pris des photos, discuté pas mal aussi. Il a proposé que nous prenions quelque chose à la buvette. Nous nous sommes assis, et c’est comme ça que je n’ai pas vu le temps passer et que j’ai raté les motocyclistes ! D’un côté je comptais dessus, et puis d’un autre, c’était sympa de rencontrer les amis.
Nous sommes allés aux écuries, et avons vu de bien beaux chevaux. Ensuite, nous avons été à la Salle des Traditions : petit musée consacré à la Garde Républicaine. Au micro on a entendu qu'il y avait une exposition de peintures, nous y avons été aussi. Je ne suis pas trop sensible à la peinture, mais il y avait des tableaux, et aussi des photographies, avec comme thème la Garde Républicaine. Les formats étaient différents, du très grand format au plus petit. La salle était assez vaste, je regardais une toile de loin, quand mon regard a croisé celui du garde qui "surveillait". Je lui ai souri, lui aussi, puis il s'est un peu approché et je lui ai dit " bonjour", il m'a répondu. J. s'est approché de moi : "tu le connais" (sourire) "non, mais je suis poli" (sourire). Un autre dernier tour, puis nous sommes partis en direction de Bastille.
Avant de nous séparer, nous nous sommes arrêtés à un café, face à La Colonne. Nouveau coup de fil (ça n’a pas arrêté dimanche !) : R. un ami de Paris me demandait où j’étais, je lui ai répondu, et il nous a rejoint au café, en profitant que j’avais le dos tourné, merci pour la peur ! J’ai eu du plaisir à discuter, et à profiter de ces instants avec mes amis. Il a été temps de rentrer, et de se dire au revoir. Le retour s’est fait sans encombre.
Lundi matin, je regarde le ciel : gris, brouillard, ça changeait du week-end ! J’avais le sac de prêt, et c’est avec un petit pincement que j’ai pris le train à 9h05 pour rentrer sur Paris (léger retard)., puis Béziers ensuite. J’avais les indications pour prendre le RER. Le TGV était à 11h20, j’avais un bon moment avant de le prendre. J’ai flâné dans la gare. Puis je suis monté. J’avais une place en 1ère (hé oui !), en prenant les billets le jeudi, je n’avais pas de réduction particulière, mais la place en 1ère était moins chère qu’en 2nde, faut le faire ! C’est bien plus spacieux, et surtout plus calme j’ai trouvé. J’avais 4h de trajet, entre la lecture, la musique, et le repas, je pensais que je n’aurais pas le temps de m’ennuyer. Au bout d’un moment, on entend au micro : « nous avons entre 20 min et 40 min de retard, veuillez nous en excuser », déjà pas d’explication… Puis un moment plus tard : « le train est arrêté sur les voies, suite à une signalisation … ». J’ai trouvé le temps long finalement, Au bout du compte, c’est 50 minutes de retard que le train a eu. J’ai pris une enveloppe en gare de Béziers, pour envoyer le billet, et avoir une compensation pour le retard. Je serai bien resté quelques jours de plus à Paris… Même si j’étais content de rentrer, j’avais ce pincement…
En conclusion de ce week end : ravi et content d’avoir vu les amis. J’ai apprécié les portes ouvertes de la garde républicaine, j’ai pris des photos, je les mettrai en ligne. Il a fait super beau, et je me suis régalé. Il me tarde de prendre à nouveau quelques jours de congé…
un lien intéressant sur Le Quartier des Célestins (on clique)