sonne l'alerte : certes à Paris il faut reconnaître qu'il y a eu une forte diminution de certains polluants comme le dioxyde de soufre ou le monoxyde de carbone, le plomb ou le benzène, mais ce qui ne s'améliore pas c'est la pollution par les particules fines.
Elles proviennent du transport routier, des combustions industrielles, du chauffage domestique, de l'incinération des déchets des pesticides ou des engrais.
Ces particules microscopiques sont inhalées très facilement et se logent dans les voies respiratoires.
C'est simple, si la moyenne annuelle de particules fines était ramenée à 15 microgrammes par mètre cube d'air, on gagnerait selon l'institut de veille sanitaire entre 1 mois et 2 ans d'espérence de vie ! !
Paris est moins polluée que Londres et que Rome mais plus que Berlin et au même niveau que New-York !
Murs, toits, terrasses, tout ce qui peut être couvert de végétaux est une très bonne solution pour lutter contre la pollution car toutes les plantes absorbent les oxydes d'azote.
On respirera mieux dans une ville végétalisée. Au moins, ça a le mérite d'être clair, on sait ce qu'il nous reste à faire et ou à demander.
Pour avoir plus d'information sur le taux de pollution de l'air aquitain consultez le site de .