Une visite en soirée dans notre lieu préféré de Paris, Beaubourg, sous la chaleur écrasante (enfin!) de l'été : "A MORT L'INFINI" exposé dans l'espace 213 par Philippe Mayaux. Un sujet fascinant (un sujet que nous étudions aussi avec le centre de recherche d'énergie atomique, l'infini ment grand et l'infini ment petit) mais qui peut donner des maux de tête quand on réfléchit trop, surtout un dimanche soir. Qu'est ce que l'infini, et comment peut on le mettre à mort? Allons-y quand même, on entre dans la grande salle. Là on découvre des effets déroutants de mise en scène avec des murs pleins qui disparaissent, de l'architecture invisible ! le cube au milieu de la pièce est recouvert d'un film de miroir sans teint à travers lequel apparaissent de manière fantomatique des inscriptions lumineuses flottantes. Un tapis rouge nous y conduit comme le fil de la vie que l'on prend en route, car, curieusement les visiteurs arrivent par le côté de cette composition symétrique. et tout au bout...
Une visite en soirée dans notre lieu préféré de Paris, Beaubourg, sous la chaleur écrasante (enfin!) de l'été : "A MORT L'INFINI" exposé dans l'espace 213 par Philippe Mayaux. Un sujet fascinant (un sujet que nous étudions aussi avec le centre de recherche d'énergie atomique, l'infini ment grand et l'infini ment petit) mais qui peut donner des maux de tête quand on réfléchit trop, surtout un dimanche soir. Qu'est ce que l'infini, et comment peut on le mettre à mort? Allons-y quand même, on entre dans la grande salle. Là on découvre des effets déroutants de mise en scène avec des murs pleins qui disparaissent, de l'architecture invisible ! le cube au milieu de la pièce est recouvert d'un film de miroir sans teint à travers lequel apparaissent de manière fantomatique des inscriptions lumineuses flottantes. Un tapis rouge nous y conduit comme le fil de la vie que l'on prend en route, car, curieusement les visiteurs arrivent par le côté de cette composition symétrique. et tout au bout...