Philosophe des temps moderne, l'incroyable Francis Cabrel chante les cailloux, les cigales, le soleil avec toute la nullité qui le caractérise. Néanmoins il parvient à être apprécié d'une large partie de la population. De ceux qui n'ont aucun gout en fait. Les textes de Cabrel sont soporifiques, diaboliques et pleins de sous-entendus salaces.
T’avais mis ta robe légère
Moi l’échelle contre un cerisier
T’a voulu monter la première
Et après
Y’a tant de façons, de manières
De dire les choses sans parler
Et comme tu savais bien le faire
Tu l’as fait
Un sourire, une main tendue
Et par le jeu des transparences
Ces fruits dans les plis du tissu
Qui balance
Il ne s’agissait pas de monter bien haut
Mais les pieds sur les premiers barreaux
J’ai senti glisser le manteau
De l’enfance
Francis nous raconte sa première fois. L'échelle désigne l'érection. Le cerisier est une métaphore de l'organe sexuel masculin : Un tronc et des fruits qui poussent par paire. La robe de légère prouve que la jeune fille est une friponne. Une de celles qui sont fort peu farouches. Le texte est aussi transparent que ses vétements. Le passage de l'enfance à l'âge adulte ne laisse que peu de doute, il l'a sauté le salop.
On n'a rien gravé dans le marbre
Mais j’avoue souvent y penser
Chaque fois que j’entends qu’un arbre
Est tombé
Un arbre c’est vite fendu
Le bois quelqu’un a du le vendre
S’il savait le mal que j’ai eu
A descendre
D’ailleurs en suis-je descendu
De tout ces jeux de transparence
Ces fruits dans les plis des tissus
Qui balancent
J’ai trouvé d’autres choses à faire
Et d’autres sourires à croiser
Mais une aussi belle lumière
Jamais
Cabrel, le houellebecq de la chanson.
Sa première fois n'était pas géniale...bon ça arrive à des gens très bien. Puis le chanteur à la voie fleurie s'attarde sur ses problèmes d'érection, il a certainement forcé sur le viagra, la phrase "s'il savait le mal que j'ai eu à descendre" est parfaitement claire sur ce point. Par la suite il avoue qu'il repense souvent à ces premiers instants charnels, sans doute pour des plaisirs en solitaire. Enfin Dieu merci on apprend que sa vie sexuelle ne s'est pas arrété là, j'attend une suite avec impatience.
A la vitesse où le temps passe
Le miracle est que rien n’efface l’essentiel
Tout s’envole en ombre légère
Tout sauf ce bout de fièvre et de miel
Tout s’est envolé dans l’espace
Le sourire, la robe, l’arbre, et l’échelle
A la vitesse où le temps passe
Rien, rien n’efface l’essentiel
J’ai trouvé d’autres choses à faire
Et d’autres sourires à croiser
Mais une si belle lumière
Jamais
Et voila que du sol où nous sommes
Nous passons nos vies de mortels
A chercher ces portes qui donnent
Vers le ciel
Francis Cabrel est un vieux qui ressasse le bonheur passé. Comme tout les vieux, ceux de Moulins compris, il s'extasie sur les prodiges de la mémoire. Faut bien profiter tant qu'elle marche encore... Tout ça pour en arriver à une superbe conclusion : Nous vivons pour baiser. Merci Francis !! Quel talent. Avec "Petite Marie" j'avais eu un doute sur " sa petite voie" merci de dissiper mes soupçons !!
LES COMMENTAIRES (8)
posté le 04 décembre à 03:29
Bravo, il vous faut revoir « Le Dîner de cons » peut-être ?
Et également « Escalier C », non ?
Ou plus simplement et plus classiquement Boileau !
Pas à dire, il est enragé le nabot; sa truffe a dû lécher trop de fions !
posté le 16 juin à 10:53
Quelle critique honteuse d'un artiste comme lui. J'espère très fort que c'est un blague, et donc à prendre au 2nd degrés.
posté le 16 janvier à 20:47
... Quelle verve pour détruire. Toi, tu es un énaurme con qui ne sais pas écrire. Et comme la plupart des critiques, tu passe ton fiel à éssayer de dégommer ceux qui savent. dégage. Blaireau.
posté le 27 novembre à 10:28
A prendre au second degrés je pense (j'espère).
posté le 07 juin à 22:05
N'importe quoi...
posté le 29 avril à 20:33
Une première fois racontée avec poésie et sens de l'implicite. Pas du tout le torchon que vous en faites. J'attends impatiemment VOTRE premier album... avec moins de fautes d'orthographe j'espère...
posté le 28 avril à 18:29
"Francis nous raconte sa première fois. L'échelle désigne l'érection. Le cerisier est une métaphore de l'organe sexuel masculin : Un tronc et des fruits qui poussent par paire. La robe de légère prouve que la jeune fille est une friponne. Une de celles qui sont fort peu farouches. Le texte est aussi transparent que ses vétements. Le passage de l'enfance à l'âge adulte ne laisse que peu de doute, il l'a sauté le salop. "
-D'ou tiens tu l'idée qu'il raconte sa premiere fois? -le tronc pour le sex et les cerises pour des testicules,ta vision du sex masculin soufre de defaut au niveau des proportions!! -tu dois croisé que des friponnes l'été... "Une de celles qui sont fort peu farouches." en plus pour toi ,ce sont toutes des salopes! Bravo! Continuons! "Enfin Dieu merci on apprend que sa vie sexuelle ne s'est pas arrété là, j'attend une suite avec impatience." Je ne vois pas ce que dieu a a faire ici,mais tu trouves logique de le remercier...bizarre. Cependant,tu te retrouve impatient de conaitre la suite. Je te conseille les disques des Charlots,eux parlent de cul ,de zob et de chattes.En en faisant une bonne analyse,tu y trouveraS surement un fond poétique. AMICALEMENT.
posté le 01 décembre à 09:28
quelle analyse ! les bras m'en tombent....