Fillon appelant à l’union nationale… dans un meeting de l’UMP à Enghien. C’est à une portée de fusil de Montmorency. Il ne pouvait manquer de faire un tabac dans une ville aussi “bourge”… Sur le même registre que Nicolas Sarkozy : «Les temps sont difficiles. Il y a des moments où l’unité nationale s’impose» selon l’article paru sur 20 minutes.
Ensuite de quoi, on est fondé à tenir pour probable son intention - dénoncée par François Chérèque, leader de la CFDT - d’amnistier les dirigeants de l’UIMM qui ont fait valser l’anse du panier et soustrait au moins 20 millions d’euros dans ses caisses… Pour arroser qui ? Mystère et boulle de gomme même si l’on a quelques petites lueurs sur la question.
Ce n’est d’ailleurs qu’une simple ressucée du discours qu’il avait déjà tenu l’an dernier dans la même enceinte. Sans plus de succès. Et qu’a-t-il fait depuis, en France, pour commencer à mettre ses généreuses idées en pratique ? Cela ne mange pas de pain… mais il ne pouvait décemment soutenir les dérives mortelles de la finance mondiale !
C’est encore une illustration d’un des nombreux symptômes du “Syndrome de Sarkozy” et de sa mentalité magique - preuve flagrante d’immaturité - comme s’il suffisait de parler pour dire ensuite : “j’ai causé, ya pu de problème”… Les paroles s’envolent, les problèmes demeurent !
Cette crise n’est que le résultat des excès des spéculateurs, de l’irrationalité la plus totale, de leur esprit de rapine. Et après qu’ils eussent pillé et ravagé le monde, comme la machine connaît des ratés - au demeurant fort prévisibles ! - il faudrait que les victimes - le vulgum pecus que d’ailleurs l’on s’apprête à tondre encore plus rasibus, sous couverts de sacrifices nécessaires… - participe à l’effort : entendre en supporte à lui seul toutes les funestes conséquences…
Je sais, j’ai fort mauvais esprit… c’était déjà en leur temps ce que disaient les bonnes soeurs de la pension et du foyer… alors, vous pensez bien que cela ne s’est nullement amélioré, l’âge venant et que je ne risque guère de changer. Mais j’ai la chance de savoir lire. Et c’est bien ce que je retiens du discours de Sarkozy à Toulon…
Il suffit de se souvenir de son credo “de gauche” lors du fameux meeting d’Agen en juin 2006 tenu en direction de la “France qui souffre” lors de la campagne électorale… Simple effet de “plume” (celle de Guaino, en l’occurence, idem à Toulon) destiné à faire passer l’amère pilule. Promesses, promesses…
Au lieu de quoi nous avons eu le “paquet-cadeau-fiscal” avec le fameux “bouclier fiscal” qui met à l’abri du fisc les seuls multimilliardaires du COUAC/40 - fort amis de Nicolas Sarkozy au demeurant - et qui coûtera 12 milliards d’euros par an au budget de l’Etat dès 2009.
S’il y a un “effort” à faire, ce devrait bien être logiquement en priorité de ce côté-là, non ? Vous n’y pensez tout de même pas ! “Le sang et les larmes” seront uniquement pour nous.
Car la “France qui souffre” s’est brossée ! Comme d’hab… mais la situation n’a fait qu’empirer, notamment en ce qui concerne le pouvoir d’achat mis à mal par l’inflation galopante - et cela ne pourra être que pire demain avec la reprise du chômage : on nous annonce déjà autour de 40 000 chômeurs supplémentaires pour le mois d’août… les chiffres officiels devraient être connus dans la journée.
Croyez-vous qu’il y ait eu dans le discours de Toulon un seul mot pour rassurer les salariés et leur promettre que l’Etat saurait compâtir à leurs difficultés ? Bernique !
Leurs angoissses au quotidien, leur peur de l’avenir incertain, les difficultés qui s’accumulent, les “working poors” qui, même en travaillant à temps complet - alors que dire de ceux à qui l’on ne propose que des temps partiels ! - n’arrivent plus à boucler les fins de mois de plus en plus difficiles et tous ceux qui n’ont même pas de quoi se nourrir décemment (je n’invente rien, cf. des articles du Monde et de 20 Minutes !)… Et j’en connais personnellement.
Que leur promet Nicolas Sarkozy ?
Et oui, je sais lire - et même parfois entre les lignes ! mais cette fois, c’est clairement annoncé. Cette crise est finalement un très bonne aubaine pour Nicolas Sarkozy et l’UM/Posture : en dramatisant la situation (point n’est d’ailleurs besoin d’en rajouter !) sur le thème “l’heure est grave” elle permet d’enterrer discrètement les promesses de campagne (non tenues et même sans cela, elles ne l’auraient jamais été !) en précisant “Dire la vérité aux Français, c’est leur dire que la crise actuelle aura des conséquences (…) sur la croissance, sur le chômage, sur le pouvoir d’achat”…
Tout est dit : la “France qui souffre”, Sarko s’en tape et pire, il la veut à genoux ! Ne croyez pas que j’exagère : il était tout fiérot d’annoncer - à un public de convaincus ! - la disparition de 30 000 postes dans la fonction publique… Leur (mortifère) marotte. Et d’appeler à la poursuite des “réformes”. Dont on sait bien en quoi elles consistent : éradiquer tout ce qui pourrait rester de protection sociale, de services publics réellement au service du public.
L’Edito du Monde (26 septembre 2008) “Très français” pointe d’ailleurs la même contradiction : il s’agit “d’éviter que l’incertitude ne tourne à l’inquiétude, voire à la panique. Mais, dans le même temps, conformément à ses enga-gements de 2007 et à sa philosophie économique, il prône avec énergie une réduction de la puissance publique, du périmètre d’intervention de l’Etat et de ses moyens d’action. C’est l’axe du projet de budget 2009. Cherchez l’erreur !”
D’ailleurs si Nicolas Sarkozy souhaitait - en tant que Président de la République, en principe “au-dessus de la mêlée” politicienne ! - adresser un message à la France sur la gravité de la situation, je ne pense pas qu’un meeting de l’UMP soit le lieu idéal !
Mais à cet égard, Nicolas Sarkozy (lui et ses conseillers de l’Elysée) manque cruellement de flair et de sens politique : quand il devrait fêter le 1er anniversaire de son élection avec ses partisans, il les fuit pour un déplacement - totalement improvisé - en province ; quand il devrait s’adresser à la France entière, il choisit un meeting partisan. Là aussi : cherchez l’erreur !
Mais, à l’évidence, le message ne s’adresse pas à la France mais à ceux qui ont “du cas” comme disent les Solognots (entendre du bien, du flouze, ou tout ce que vous voudrez).
Nicolas Sarkozy promet effectivement - “Je n’accepterai pas qu’un seul déposant perde un seul euro parce qu’un établissement financier se révélerait dans l’incapacité de faire face à ses engagements.” - aux seuls détenteurs de capitaux… il a beau y joindre les “petits épargnants” mais c’est à peu près aussi convainquant que naguère Balladur et les “petits porteurs” d’actions.
Notez à cet égard qu’en cas de défaillances d’un organisme financier (banque ou autre) les Français sont nettement mieux protégés que par exemple les Britanniques ou certains Européens. En effet, un fond de garantie leur permet de toucher au maximum 70 000 euros par compte et par personne (ainsi les comptes des conjoints voire des enfants sont protégés de la même façon) contre l’équivalent de 20 000 euros en Grande Bretagne.
Sont concernées non seulement les banques françaises mais également les filiales des banques étrangères. Seuls les établissements financiers qui n’ont en France qu’une simple succursales - c’est le cas de la néerlandaise ING-Direct - sont exclus de cette garantie.
Celle-ci ne joue bien entendu qu’en cas de faillite d’une banque. Les épargnants qui auront perdu un gros paquet du fait de la dévaluation des actions n’auront que leurs yeux pour pleurer.
Mais pour la plus grande majorité des Français, en attendant des jours meilleurs (qui devraient être encore améliorés par les fameuses “réformes” qui vont laisser la France à peu près dans le même état qu’un cimetière dévasté par un bombardement !) toujours sur l’air du “demain on rase gratis” : “pour conclure, il a prédit un avenir radieux ou presque grâce à ses réformes… «dès que la situation mondiale redeviendra meilleure».
Les promesses ! c’est comme le paradis : toujours plus tard et point n’est besoin d’être grand clerc pour savoir que le vulgum pecus sera comme d’hab, oublié de la croissance au moment de “l’embellie”… mais en attendant, nous vivons - mal - ici et maintenant ! et il nous faudra sans nul doute mettre davantage la main à la poche, au grand dam de notre pouvoir d’achat déjà tellement peau de chagrin…
En passant, je remarque dans un verbatim de son allocution (proposé par 20 minutes) que Nicolas Sarkozy a proféré un mensonge de plus, s’agissant “des titulaires des minima sociaux, à qui “il entend accorder une prime exceptionnelle pour compenser le retard sur l’évolution réelle des prix” car “leur pouvoir d’achat n’est pas garanti contrairement aux allocations familiales et aux retraites”.
MERDALOR ! Il nous prend vraiment pour des cons… Tous les retraités (et sans doute les titulaires d’une pension d’invalidité servie par les CRAM) savent pertinemment que contrairement aux dispositions de la loi Fillon (2003) sur les retraites qui prévoit que celles-ci doivent être indexées sur l’inflation, elles n’ont été augmentées que de 1,1 % au 1er janvier 2008 (1,43% pour les caisses de retraite complémentaires) alors que l’inflation était déjà de 2,6 %…
Est-ce bien étonnant ? Quand on connaît la “Constante de Sarkozy” : “un scandale par semaine, un mensonge par jour”. Il prétend dire “la vérité” aux Français tout en ne pouvant s’empêcher de mentir. Pour lui, ce n’est évidemment qu’un détail mais quand on doit sur/vivre avec une petite retraite, force est de compter sou par sou et d’élaguer beaucoup de dépenses.
S’agissant de la réforme de l’hôpital - dont il attend monts et merveilles ! - «elle permettra d’améliorer l’accès aux soins et leur qualité tout en supprimant des dépenses inutiles» je conseille plutôt de lire la récente chronique de Caroline Fourest dans Le Monde : “Allez donc mourir ailleurs !” pour avoir une idée du résultat en matière de santé publique quand on confie les rènes de l’Etat à un margoulin-chef.
“Pas d’augmentation des impôts” promettent d’une seule voix Sarkozy et Fillon… oui mais des taxes en pagaille ! D’ailleurs, nous sommes prévenus : «Dans le monde de la rareté, il va falloir payer plus cher le pétrole, le gaz, les matières premières (…) Les Français devront apprendre à produire autrement, consommer différemment.»
Pour l’instant nous avons échappé à la “taxe pique-nique” - marrant raccourci journalistique… mais il fallait lire la liste complète, laquelle s’allongeait d’ailleurs tous les jours ! Nicolas Sarkozy, s’il a dû reculer - provisoirement - entend bien continuer à nous faire les poches : «Je crois que le système du bonus-malus est un bon système. Ce système extrêmement incitatif du bonus-malus qui permet de gagner des années dans le changement des modes de consommation sera étendu à d’autres produits. Cette extension se fera dans la concertation. Elle se fera progressivement. Mais elle se fera.»… nous voilà prévenus !
Connaissant au demeurant l’idée que se font de la concer-tation les ministres de ce gouvernement - c’est à prendre ou à laisser ! - nous pouvons avoir d’ores et déjà une petite idée de la sauce à laquelle nous nous ferons bouffer !
Et ne croyez surtout pas qu’en achetant “propre” nous serions “gagnants-gagnants”… Mon oeil ! A preuve : le grand argentier (Eric Woerth) qui pense que c’est trop coûteux pour les finances publics et souhaite uniquement un malus… Pour le “cadeau Bonux”, prière de repasser.
Et à peine cette tempète s’était elle achevée, on nous reparle d’une nouvelle taxe “frites-chocolat” selon le raccourci de 20 minutes. Laquelle n’est d’ailleurs que le retour d’une propo-sition d’un rapport conjoint de l’Igas (santé) et de l’Igf (Bercy) datant du début août… A cet égard, il faut noter que l’IGAS admettait in fine qu’il n’était pas opportun de mettre cette taxe en oeuvre car elle pénaliserait les plus pauvres qui ont tendance à se nourrir le plus mal…
Cet aspect - non négligeable en cette période où les plus pauvres ont déjà les pires difficultés à se nourrir ! - doit totalement échapper à une certaine Valérie Boyer, élue UMP qui préside la mission d’information parlementaire sur la prévention de l’obésité et propose de passer la TVA de tous les produits trop gras et/ou trop sucrés de 5,5 % à 19 %… Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? A sa place, j’irais même jusqu’à 50 % !
Etant donnée l’inflation et la perte du pouvoir d’achat, les dirigeants et élus politiques de l’UM/Posture “se tirent une balle dans le pied” ! Tout ça sous couvert d’économies pour la Sécu (louables en soi) mais en fait pour plumer davantage les pauvres et classes moyennes.
Je suggère plutôt de taxer fortement les revenus des ministres (10 000 € par mois) qui bouffent au frais de la princesse (décidément très “bonne fille”, la Marianne !). Il suffit de voir comment la plupart deviennent replets…
Pour justifier ses émoluments de parlementaire qui ne la rangent pas vraiment dans la catégorie des nécessiteux, Valérie Boyer me semblerait mieux inspirée si elle proposait de conduire une enquête parlementaire sur les pratiques de l’agro-business : 60 Millions de consommateurs vient en effet de révéler leurs pratiques de “bandits manchots” et autres “barons voleurs” - pour préserver leurs marges bénéficiaires voire les augmenter ! en grugeant les consommateurs : doper les prix «sans que cela saute aux yeux du client»…
Lesquels devraient être en effet «être des consommateurs sacrément avisés» pour remarquer cette «inflation masquée» dixit l’article de 60 millions qui pointe 3 pratiques :
Pourquoi se gêner ? L’agro-business et la grande distribution se font déjà des couilles en or sur le dos de leurs clients et de leur personnel (j’y reviendrais très certainement) qu’elles maltraitent. Tout cela pour le plus grand bien de leurs actionnaires voraces.
Je n’ai pas eu l’occasion de racheter des oeufs depuis que j’ai raconté l’arnaque dont j’ai été victime au Franprix… Vous pouvez être certains que je vais regarder le code sur l’oeuf la prochaine fois et si c’est toujours la plus mauvaise qualité au prix d’une meilleure : basta ! Ce sera la preuve d’une pareille “stratégie”…
Pour l’instant, dans l’opinion publique les avis sont plutôt relativement partagés à en croire un récent sondage : seulement 51 % des Français ne feraient pas confiance à Nicolas Sarkozy sur la crise financière, selon 20 minutes.
Nul doute que ce pourcentage deviendra bien supérieur quand ils se rendront compte combien, du discours à la réalité, les Français de modeste fortune ou carrément pauvres réaliseront qu’une fois de plus ils se seront fait berner par Nicolas Sarkozy… Décidément, que leur faut-il pour retirer les paquets de peaux de saucisson qui leur servent de lunettes ?
A défaut de beaucoup écrire ces derniers temps, j’ai beaucoup lu et épluché soigneusement la presse sur tous les sujets - bien trop nombreux ! - qui m’intéressent. Et au au premier chef, bien enendu la crise financière internationale et le scandale du lait chinois qui ont en commun d’étendre leurs ravages à l’ensemble de la planète…
Comme je termine, fort tardivement cet article, je consulte ma boîte : une alerte du Monde m’apprend que la Chambre des Représentants - la seconde chambre du Congrès américain avec le Sénat - a rejeté le Plan Paulson…
Ce plan était sans doute critiquable à bien des égards (j’espère avoir le temps d’y revenir) en ce que, comme d’ailleurs les interventions massives et répétées des banques centrales, il consiste à “privatiser les profits mais nationaliser les pertes” et, qu’en donnant des liquités aux organismes financiers défaillants - de leur faute : la spéculation et la fuite en avant dans la recherche de profits à un niveau purement aberrant - ces injections massives d’argent frais constituent à l’évidence une invitation à très vite recommencer ! comme le dit si bien un article de Libé : La Fed aux banquiers: «Spéculez, de toute façon on vous sauvera».
Cela n’a fait que se vérifier, crise boursière et/ou monétaire après crise, notamment depuis octobre 1987. Les crises n’ont depuis cessé de se multiplier et se rapprocher dans le temps et les spéculateurs d’utiliser ces apports d’argent frais pour spéculer toujours davantage et depuis quelques années inventer de nouveaux procédés, plus opaques - mais dangereux ! - les uns que les autres.
En outre, ces injections massives d’argent désorganisent les équilibres monétaires (c’est une sorte de “planche à billets” qui ne dit pas son nom) et sont en conséquence, facteurs d’inflation. Il est quand même paradoxal que la BCE qui prétend ne pas vouloir baisser ses taux directeurs en invoquant le risque inflationniste - ce ne quoi l’on ne saurait lui donner tort - y contribue néanmoins en injectant des milliards d’euros pour venir au secours des banques !
Nul doute que cet échec ne précipite dès demain les Bourses et les établissements financiers dans un marasme plus grand encore. L’hystérie ne risque guère de se calmer. Alors même que dans certains cas, l’on se demande qui et pourquoi fait circuler des rumeurs qui ne font qu’aggraver la situation de certaines banques… Cela se vérifie aussi bien aux Etats-Unis, en Grande Bretagne et en Belgique qu’à Hong-Kong.
J’ai encore beaucoup de choses à faire avant de fermer - provisoirement - boutique pour 5 semaines de vacances - pas d’internet ! - dans l’arrière-pays sétois, ce qui me fera le plus grand bien, au physique comme au moral.
J’espère néanmoins trouver d’ici le 8 octobre le temps de “pondre” tout ce que j’ai en tête à partir de la masse de documents que j’ai lus le plus attentivement possible.
Si j’ai la chance d’avoir un cerveau qui marche relativement bien et plutôt rapidement quand il s’agit d’associations d’idées (je ne voudrais pas paraître atteinte du syndrome de la “grosse tête” ! je n’ai nullement l’ego sur-dimensionné : je sais à peu près ce que je vaux et cela m’ôte toute vélléité d’auto-suffisance) je suis hélas cruellement lente quand il s’agit de l’exercice pratique… guère aidée au demeurant par un ordinateur encore plus désespérément lent que moi ! qui rame et bugue plus souvent qu’à son tour. Et sans doute aussi sui-je trop perfectionniste ! Ce qui doit être une conséquence de mon ascendant “vierge” (les rationalistes vont encore se foutre de ma gueule !).
(*) En testant le lien sur l’iterview de Jacques Généreux, je constate qu’elle n’est plus directement accessible sur le site de Libé… Comme par expérience, je sais qu’il est difficile sinon impossible d’y retrouver les documents archivés, je vais enregistrer dans un document Word, la version sur laquelle j’ai travaillé, avec un lien à partir de “mes documents”, pour les personnes qui souhaiteraient la consulter.
jacques-genereux-libe.1222740077.doc
SOURCES
Le Figaro
Crise financière : Sarkozy veut sanctionner les responsables
Obésité : la taxe nutritionnelle fait son retour
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«Le laisser-faire, c’est fini»
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Accusés de trucages, les groupes agroalimentaires se montrent peu bavards
20 Minutes
Nicolas Sarkozy s’est contenté «de faire du Sarkozy»
Discours de Toulon: la «lucidité tardive» d’«un capitaine courage»
Discours de Nicolas Sarkozy à Toulon: ce qu’en pensent les économistes
Nicolas Sarkozy à Toulon: un effort pour dissiper le brouillard économique
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Discours de Toulon: petit manuel de pensée économique sarkozyste
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